Certains étaient méfiants parce qu’ils avaient été maltraités par l’industrie du disque, d’autres nous ont tout de suite fait confiance. Joe Bataan parle de cette époque tout le temps. C’est un voyage, mon ami ! Le label Fania réédite en version remastérisée six albums essentiels de l’histoire de la salsa. J’étais très occupé avec Yerba Buena qui était très connu à l’époque. C’est un mentor pour moi, un vrai ami. En 2015, le festival SXSW présente « We Like It Like That« , un documentaire consacré à la naissance, la vie et la disparition du boogaloo. », « Brian Lynch & Eddie Palmieri… L’album a gagné un grammy. » Vous expérimentez. Comment ce genre musical a-t-il influencé votre musique ? J’ai été initié quand j’étais jeune à quelques-unes des plus puissantes religions africaines de Cuba. Elle avait été élevée par sa grand-mère, mon arrière grand-mère, qui était prof à la Schola Cantorum, un conservatoire privé rue Saint-Jacques qui a plus de deux cents ans. * Pour les aficionados, Mundo Latino a dressé la discographie complète du groupe entre 1979 et 1986. », « Gonzalo Rubalcaba… Gonzalo est un des plus grands. La première partie verra se succéder une pléiade d’invités parmi lesquels La Típica 73, Mongo Santamaría2 et El Gran Combo de Puerto Rico. Denisot les programme malgré tout, ce qui donne une séquence d’une justesse rare quant à un engouement qui en est juste à son commencement. Je suis né d'une mère antillaise et d'un père marseillais. Je connaissais sa musique, je savais ce qu’il faisait. Le boogaloo est de retour, un retour en grâce à mettre au crédit de la culture DJ et au caractère omnivore de la culture musicale sur le web, un retour qui a permis sa redécouverte, faisant caisse de résonance à son histoire. Hasard du calendrier, Joe Bataan, star du film et figure tutélaire du genre, effectue son retour sur scène. Dans le livret, vous racontez l’histoire de cette chanson. Je jouais depuis le collège. C’était chaud là-bas ! Le trompettiste cubain Yelfris Valdés surprend avec « For The Ones », un premier album entre spiritual jazz, world et électro. J’ai pris une claque immense en arrivant là-bas, mais j’avais un bon bagage harmonique. « Vous savez, on joue ensemble trois jours par semaine au Guantanamera : le mercredi, le jeudi, le vendredi. J’en ai fait parti, . Ma maman était chanteuse. En CD ou en vinyl, voilà de quoi remplir la hotte du Père Noël. Au cœur du no man’s land, nait la culture urbaine, issue du désespoir des populations afro-américaines. Comme saviez-vous que ça fonctionnerait ? Ce qui frappe à l’écoute de « Orquesta Akokán », au delà de ses qualités sonores, c’est le sentiment d’authenticité. « On a renoncé à comprendre » résume Jacob, mi-amusé mi-fataliste. J'ai travaillé comme un fou là-dedans parce que c'est mon style. ». Quand Jacob Plasse commence à enregistrer les meilleurs musiciens latinos de New York sur des bandes analogiques, la plupart le prennent pour un fou. Je vais vous donner trois titres d’albums, dites–moi ce qu’ils vous évoquent. MAILLARD L. L/ 8/46 / 1087. Sur les traces de Miami Boheme, 4è partie : Et les dieux créèrent PALO! La salsa ou la musique cubaine réarrangée, urbanisée, réappropriée. « Travelling Riverside Blues » est de Robert Johnson, « Je marche dans les pas de ceux qui sont passés avant moi… Candido Camero, Patato, Mongo Santamaria. Ça fait des années. Si le concert anniversaire de PALO! Il avait venir tous ces gars au Guatanamera. Le stade se remplit jusqu’à atteindre 40.000 personne1, du jamais-vu. Sous des airs on ne peut plus classiques, « ABUC » est truffé d’effets. J’ai réalisé qu’il y avait plein d’histoires qui n’avaient encore jamais été racontées. Bon, j’ai fait un truc en hip-hop, c’était drôle. En 1976, il entre au service des sports de TF1. On recense 30.000 d’incendies en 1973, principalement motivés par les primes d’assurances. Ces pistes sont les pépites du live au Yankee Stadium. Journal du Grand Alès en Cévennes juillet-août 2009 - n°84. Quand je n’étais pas là, la résidence continuait. Pour être dans une famille de "footeux", Juliette savait qui j'étais... Nous avons d'abord vécu à Croix. Conférence et projection du film de Henry Chalfant, « From Mambo to Hip-Hop » au FGO Barbara mercredi 4 mai à 18H30 dans le cadre du Festival Paris New-York. Mais le piano dans le rock, c’est un peu répétitif. Votre musique est-elle soul ? Si les gens n’aiment pas, ils n’aiment pas ! Dans « Fania at 50. La Villette deviendra le point de ralliement pour une communauté antillaise fière de se retrouver autour d’un groupe à la dimension internationale. C’est un de mes héros ! J’ai eu envie de le faire. 1980 Lagé Moin Vous devez être très attentif à ce que vous faites. Ils citent Johnny Colon, Joe Bataan et puis Johnny Pacheco entre en scène, ils concluent que le boogaloo c’est nul et passent à la salsa. A sa façon, il l’a été. Il y a un qui à l’époque eu le nez fin, c’est Didier Roustan dans l’émission Zénith de Michel Denisot. « Nous avions réussi à récolter 15.000 $. Quelques années plus tôt, l’alliance entre le businessman Jerry Masucci et le musicien Johnny Pacheco a donné naissance à Fania, le label qui a inventé la salsa. Steve a longtemps été le producteur et directeur musical de Willy Chirino. Il faudra bien que Kassav’ ralentisse un jour la cadence. « Orquesta Akokán » : CD, vinyle, streaming (2018, Daptone Records/Chulo Records – Distribution Differ-Ant). De là a démarré notre relation. Son prochain objectif : une tournée en Europe. ». Ils sont de retour au Hoy Como Ayer. Le seul morceau que je reconnaissais c’était Tutu, parce que ça collait avec les sons modernes. On est devenu ami, c’est complètement dingue ! Il demande : Les gars, vous êtes prêts ? A New York, vous avez les meilleurs musiciens de tous les pays du monde. Formé depuis 2004, je travaille régulièrement avec des PME et des particuliers. « On a enregistré sans aucune préparation. « The Pedrito Martinez Group » en concert le 19 mai 2016 au Duc des Lombards. D’où vous êtes venue cette idée ? Quand vous êtes initié à la religion, c’est pour la vie. » « J’ai commencé le piano à l’âge de cinq ans. » •, Les applications mobiles Ouest-France disponibles en téléchargement, merci d'indiquer une note pour l'ambiance, • FOOTBALL POUSS'CUP 10e ÉDITION, AUJOURD'HU - Didier Roustan, le parrain : « Je suis quelqu'un de simple, d'authentique », Actualité sportive nationale et internationale, Cet établissement est nouveau sur maville.com. « Brian Lynch & Eddie Palmieri… L’album a gagné un grammy. Il a tellement de relations dans le milieu… Earth, Wind & Fire, Kool and The Gang, Tower of Power. PALO!, c’est le vieux rêve de Steve Roitstein. », « C’est un magnifique documentaire qui a été réalisé par Fernando Trueba (il est de Madrid en Espagne) dans les années 2000. Voilà ma formation. J’avais travaillé pendant quelques années pour le New-York Times, fait deux-trois choses pour NBC, j’avais écrit pour Wax Poetics également. C’est dans ce lieu mythique, ancien studio de Panart absorbé en 1961 par la Egrem, qu’ont eu lieu les plus célèbres enregistrements du genre. J’ai voulu en savoir plus. A l’occasion de la Fête des Sports, le dimanche 9 juin 2019 à Sarcelles, le CROMVO, Comité de Réflexions des d’Originaires d’Outre-Mer du Val d’Oise, organise une fête en l’honneur d’Alain Couriol. Il convient de replacer ce premier Zénith dans la chronologie du groupe. A quelques blocs de là, le Spam AllStars qui enflamme le Hoy Como Ayer avec ses soirées ¡Fuácata! On a fait ça avec Wynton Marsalis, Steve Gadd qui a coproduit l’album… On leur a juste montré les chansons et demandé lesquelles ils avaient envie de jouer. Dans les années 40 et 50, le mambo et les big-bands de latin jazz furent les premiers styles latinos commercialement rentables au States. Le son est très exigeant. On est allé en studio, j’ai fait les arrangements. Johnny Pacheco entame « Saludando señores con su ritmo tropical… Descarga de Bongo. » L’audience est chauffée à blanc, Pacheco annonce Harlow, démarre Congo Bongo. Et du jazz-funk : piano, Rhodes. Après les années d’expérimentation (entre 1979 et 1986 les musiciens sortent au total une vingtaine de productions*), Kassav’ décroche son premier grand succès avec l’album paru sous la double-signature Georges Décimus / Jacob Desvarieux, « la référence » dixit Jocelyne Beroard (Mundo Latino, juin 2013). », « Et puis sort Rap’O Clap’O, un album signé Joe Bataan et le Mestizo Band, qui est un mélange de musique latine, de disco (Il avait été l’un des créateurs du label Salsoul Records) et de rap, qui est un rap très chaleureux, très chanté, qui évidemment n’a rien à voir avec le rap beaucoup plus saccadé et dur qui va arriver dans les années 80. En concert le 7 juin 2016 au Duc des Lombards. Je pense que les percussions et la polyrythmie africaine sont les apports principaux de Benny à cette musique. « J’ai rencontré Fernando à New York grâce à Puntilla, Orlando Ríos. C’est un mentor pour moi, un vrai ami. Devant la transparence du livret actuel, on se dit que les nouveaux propriétaires de Fania ont pris le parti de considérer ce montage comme un élément de l’histoire. >> A lire  :  « Le South Bronx, creuset des musiques urbaines ». Il a tellement de relations dans le milieu… Earth, Wind & Fire, Kool and The Gang, Tower of Power. Dans « From Mambo to Hip-Hop », Henry Chalfant dresse le parallèle entre les deux mouvements et désigne le Bronx comme épicentre des cultures urbaines. Au rythme d’une soixantaine de concerts par an, le groupe est en tournée toute l’année, dans le monde entier, depuis une trentaine d’années. Vêtu d’un débardeur, coiffé de son habituel petit chapeau noir, le Cubain enchaîne les interviews avec patience et bienveillance. « Vous me demandez ce que c’est, la salsa ? Le Yankee Stadium marque également le début des tournées de la Fania All-Stars. On utilise ce terme pour évoquer un large ensemble de traditions qui va du son jarocho de la côte caribéenne du Mexique à l’électro-cumbia du Bueno Aires contemporain. Pedrito Martinez est la révélation cubaine de ces dernières années à New-York. », >> A lire : « Latin Music USA : le documentaire web revisite l’histoire de la musique latine ». Episode 5 : Miami Boheme, le film qui vous fera aimer Miami, « Miami Boheme : An American Musical Journey », L’essor de l’empire Salsa et la chute de la maison Boogaloo, « Fania at 50. 1983 Ti Coq, Jean Philippe Marthély Pour Izzy Sanabria, figure historique de Fania, le boogaloo embrassait tout le côté novateur  du label, ciblant les nouvelles générations de consommateurs de musique, « les babyboomers portoricains, les enfants de l’immigration portoricaine. « … de Yosvanny Terry, un très bel enregistrement. 3si commerce n.s. Je voulais rendre hommage à la contredanse, un genre qui a beaucoup compté dans mon pays. Vous êtes un ambassadeur ? Daptone Records, déjà. 1981 Kassav’ n°3 C’est ce qu’est Trombone Shorty. Le concert torride (la clim avait lâché) sera enregistré et filmé. Il aime les impliquer dans la composition : le conguéro Philbert Armenteros et le timbaléro Raymer Olalde, l’indispensable « Dr » Ed Calle, imminent saxophoniste récemment récompensé aux Grammy, enfin et surtout Leslie Cartaya, bombe atomique vocale. J’ai découvert cette musique latine et soul chantée en espagnol et en anglais. Alors que Thomas décrit les tractations entre les cultures new-yoricaine et afro-américaine, le boogaloo en réussit la synthèse, et Bataan en est peut-être l’incarnation. Flores met en avant la géographie de Harlem –la proximité entre le Barrio et les quartiers afro-américains de Central Harlem– aussi bien que les problématique sociales communes que se partageaient les deux communautés, ainsi que les questions qui animaient la culture portoricaine dans les années 60. « Le jazz et la salsa », blog spécialisé dans les musiques caribéennes, vous propose sa sélection d’albums publiés en 2020. Le choix du propriétaire se porte sur un combo cubain monté par un vétéran du Miami Sound. Il est mort dans un accident de moto. 24 août 1973. « Benny a grandi entouré par les guateques (fêtes campagnardes) et les tambours religieux. Je fais un stage pendant l’été à Toulon avec des profs américains, je découvre les standards. Ce n’est pas une question de rythme ou de mélodie, mais de bonne énergie entre les musiciens. « Du Mambo au Hip-hop » pâtit d’une inégalité de traitement du second genre en faveur du premier. Je fais du recyclage. On a toujours un plan B, ou C ou D. On ira toujours de l’avant, toujours. Dans les années 2000, les bandes du concert de San Juan sont miraculeusement retrouvées. Le disque s’inscrit dans un tryptique comprenant « Live at Yankee Stadium » / « Latin Rock Soul » / « San Juan 73 », qui couvre peu ou prou les concerts de New York et de San Juan. Il y a un deuxième titre qui évoque New Orleans. Alors qu’il est en train de réaliser son rêve, une tempête électorale s’apprête à installer Donald Trump à la Maison Blanche. Les classiques de la salsa comme ceux de Colón intègrent des expressions traditionnelles comme la bomba portoricaine et la murga panaméenne. La Bibliothèque du Congrès états-unien a inscrit « Fania All-Stars Live at Yankee Stadium » sur la liste des cinquante enregistrements les plus importants culturellement. Je veux me souvenir des bonnes choses. J’ai été appelé six fois cette année-là pour aller au Japon. Je pense que j'étais en avance sur mon temps. ». Par la pratique sportive, on intègre des valeurs comme le respect, la vie en commun. Du coup, j’ai écrit cette histoire de musicien cubain qui découvre New Orleans et qui imagine ce que donneraient ces rythmes à Santiago de Cuba. Tout ce que je sais, je l’ai appris dans la rue, en jouant rumba, comparsa, Batás pour les cérémonies. Il faut savoir que derrière les albums des membres de Kassav’, il y a tout Kassav’. Ils ont été corrects et n’ont pas essayé de nous influencer. », J’ouvre une nouvelle parenthèse. Du mambo au hip-hop, les deux genres se sont appuyés sur les mêmes mécanismes de développement. Tout ça était du mambo, orchestré dans le style des années 40/50. 1984 À la demande, Patrick Saint-Éloi travaux Le recalibrage du Grabieux a démarré. ''Le Penseur'' par Auguste Rodin. Qu’as tu fait avant ? La musique électronique est un monde vaste, simple et compliqué à la fois, où quand vous les mélangez avec des sons acoustiques, vous pouvez créer des combinaisons infinies. Tant pis s’il faut recommencer. La conclusion revient à Bobby Sanabria. The Salsa Revolution, Chap. Ça fait partie d'un parcours qu'on n'oublie pas. Aujourd’hui les gens redécouvrent le boogaloo, mais en 2010 cette musique était oubliée de tous. – Livret de l’album « San Juan 73 » (en anglais) sur le site de Fania ; On ne saura pas si il loue Yemaya, en tout cas sa maison respire la Santeria. est suivi par un public fidèle. A leur apogée, ces deux genres étaient dominés par Cuba –des directeurs d’orchestres comme Machito et Pérez Prado étaient l’avant-garde, et les musiciens US recherchaient à Cuba nouvelles tendances et innovations. On a composé ensemble plusieurs chansons qu’on va pouvoir utiliser dans le futur album. Sans le boogaloo, la salsa n’aurait pas décollé de cette manière-là. Le nom de la formation prend alors toute sa dimension. Lorsque Pierre-Edouard Décimus décide de s’associer avec Freddy Marshall avec pour objectif de renouveler la musique antillaise, il joue dans un orchestre alors très populaire, les Vikings de la Guadeloupe. C’était très facile de venir en studio et d’enregistrer (il claque des doigts) … comme ça ! », Il reprend le fil de sa pensée. Parmi ces trésors figure le double-album « Fania All-Stars Live at Yankee Stadium ». Trombone Shorty ! Trombone Shorty. Je suis reconnaissant à Elena Martínez, ma productrice [From Mambo to Hip-Hop], à City Lore [organisation de préservation du patrimoine culturel urbain]. Je me disais : Mais c’est quoi ce truc ? Je ne connaissais pas Trombone Shorty. », Le dernier est « Today’s opinion ». Después est un boléro. Foot citoyen (dont le président d'honneur n'est autre qu'Arsène Wenger) part du constat que les enfants manquent de repères. C’est la base. – Kassav’ en concert les 27, 28 et 29 juin 2016 au Zénith de Paris (première partie : les Vikings de la Guadeloupe les 28 & 29) J’adore jouer avec. Vous savez, les Cubains ont traversé des moments difficiles, des moments heureux aussi, mais on n’abandonnera jamais, jamais. 100% info. Je compte sur mes doigts. dans les grandes écoles de musique de la Havane. Quand je suis rentré en octobre, je me suis inscrit en philo. Vous aimez mélanger les genres… « Je suis quelqu’un de curieux. Lorsque vous devez vous rappeler de quelque chose et que vous voulez faire un effort supplémentaire pour y arriver. Mais cette définition pourrait convenir à de nombreux autres genres. >> A lire sur Mundo Latino notre dossier spécial Jazz à Vienne 2017 : J’ai compris que New-York avait cette histoire musicale incroyablement riche avec le mambo, la salsa, et le boogaloo. Passionné d’internet, Steve entretient précieusement la relation qu’il a tissé avec ses fans du monde entier. 1 « Le Bronx est en feu ». J’ai été initié quand j’étais jeune à quelques-unes des plus puissantes religions africaines de Cuba. », « Jusqu’à la fin de ma vie. C’est fantastique pour moi de voir ces musiciens remonter sur scène… Aujourd’hui Joe Bataan joue dans le monde entier. Tout lui est revenu instantanément. Dans le même temps, l’immigration de Puerto Rico vers les States a explosé. – The Book Of Salsa (El Libro de la Salsa) de César Miguel Rondón, chap. Pour moi, c’est un mystère ! J’aime travailler avec les gens qui font des choses uniques. Le final, généreux et éruptif, d’Afro-Mambo à Bonco, laisse le public KO. », « Vous savez, on joue ensemble trois jours par semaine au Guantanamera : le mercredi, le jeudi, le vendredi. C’est très important pour moi. - « J'en ai été le responsable durant trois ans (1986 à 1989), après Pierre Cangioni, Michel Denisot et Jean Raynal. Il ajoute : « Oh-la-la ! Il a appelé Puntilla pour faire la chanson, on l’a fait ensemble. Quand Yerba Buena s’est arrêté, je me suis dit que c’était l’occasion d’avoir mon propre groupe et le faire grandir. Là où j’habitais, on jouait la musique folklorique. Cuisine antillaise ATELIER ACERMA Atelier d’écriture spontanée JARDIN, 176 GRANDE RUE HAUTE 12 Tous les jours de 10h à 12h ... par les pêcheurs d’origine napolitaine. DU. De la musique cubaine avec une putain de New-York attitude ! Il s’agit de Tierra Santa, la terre sainte. Je ne jouerai pas, jazz comme un musicien de jazz. - « Je suis né à Brazzaville, en Afrique, un continent où je suis ensuite beaucoup allé. J’aime beaucoup les descargas. Verbatim. Les origines africaines et la frénésie de la danse, comme un échappatoire au quotidien. La région me correspond assez bien. L’album double « Live at Yankee Stadium » est complété par les morceaux du second concert, tout comme le documentaire qui en est tiré. C’était hyper drôle parce quand il passait ses vinyles dans le salon (pour moi gamin tous les disques se ressemblaient), je me moquais, je faisais Dididoudoudoublablabla. C’est magnifique. On a reçu des aides du National Endowment for the Arts et du New York State Council on the Arts. Mon père est fan de jazz. On est allé en studio, j’ai fait les arrangements. » raconte Chirino dans « Miami Boheme ». - « J'ai grandi à Cannes. » Vous pratiquez ? ». Au fil des ans, la maison de disque va racheter ses concurrents, Tico et Alegre, intégrant ainsi les surdoués du latin-jazz Mongo Santamaria, Ray Barretto, Eddie Palmieri, attirer des grandes stars telles que Celia Cruz, et développer ses propres artistes comme Hector Lavoe. » Depuis combien de temps jouez-vous ensemble ? Je connaissais l’existence de cette musique (ma mère est colombienne) mais elle m’était étrangère. 6 AU 19 AVRIL 2016. Je suis le régional de l'étape, c'est plus facile... » > Télé-Foot ? Titulaire d’un doctorat en « jazz performances », il est l’auteur d’une thèse sur le piano cubain dans les années 40. 1982 Oh Madiana, Jacob Desvarieux « Il y a eu « Slave To Africa » en 2006, « Routes of rumba » (2009), et puis le dernier intitulé « Enyenison Enkama », « Afrique moderne » en abakuá. Ça nous suffisait : On avait fait le Zénith ! 1986 Siwo, Jocelyne Béroard. L’audience de la salsa est limitée alors que celle de la soul et du R’n’B’ est beaucoup plus large. Le directeur d’orchestre Pucho Brown a donné la définition la plus connue du boogaloo : « chacha avec contretemps » (Le chacha est utilisé dans la clave afro-cubaine traditionnelle 2-3 et le contretemps, emprunté au rock ou à la soul, insiste sur le deuxième et le quatrième temps d’une mesure). Regrouper ces musiques montre toute l’étendue stylistique de ce qu’on appelle « musique latine ». Un match de Gala opposant l’équipe des « Amis d’Alain » à … David, d'origine magyare (hongroise), sous-officier retraité de l'armée croate, raconte qu'il avait deux voisins serbes. amicale antillaise du val d-oise saint-brice-sous-foret. Le club a capté de plus en plus l’attention. Fania fût une machine à cash inégalée qui a exporté la culture portoricaine et new-yoricaine dans le monde entier. La salle de spectacle affiche complet depuis plus d’un mois sans aucune promotion. Pépito, qui devait se rendre à Cuba pour donner un concert avec Pupy, a réussi à convaincre ses complices de l’accompagner. Ça m’a interpellé : C’était mon histoire. L’objectif du concert était d’en faire un moment historique. Mon papa était d'origine modeste, il a beaucoup travaillé ; il m'a inculqué des valeurs : c'est resté dans mon caractère, mais c'était déjà dans mes gènes. Si vous vous débarrassez de vos racines, vous disparaissez. Vous savez, à Cuba il y a des bonnes choses, il y a des mauvaises choses. Comme tout le monde, je connaissais Bang Bang ou I Like It Like That, mais je n’avais jamais fait le lien avec la musique latine. Roubaix, je peux, parce que je n'habite pas à 300 kilomètres. Tout est allé très vite avec lui ! Mais au travers de leur passion qu'est le football, ils sont beaucoup plus réceptifs. Certainement. Après un premier concert il y a quelques semaines au festival Banlieues bleues, les Vikings se produiront en première partie de Kassav’ les 28 et 29 mai au Zénith de Paris. où j’habitais, on jouait la musique folklorique. – Livret de l’album « Live at Yankee Stadium » (en anglais) vol. 1983 Banzawa, Jacob Desvarieux » > Le football ? ». Il était jeune, 39 ans, « Pas vraiment. Moi j’ai dit : Je ferai clavier. Le morceau démarre là où j’ai commencé à l’imaginer, à Paris. C’est un de mes héros ! ». Je savais que ça fonctionnerait. Que pensez-vous de Daymé ? Il est probable que les anciennes stars et les labels aient été effrayées par l’énergie de ces jeunes musiciens. Le film est sorti en 2015, que s’est-il passé entre temps ? Mais il y a les problèmes économiques…, u delà de ça, la qualité de vie est bonne. Le 4 mai 2016, Olivier Cachin, spécialiste du hip-hop et des musiques afro-américaine et journaliste au Mouv, participait à la conférence « L’héritage en France de la musique afro-américaine » qui suivit la projection du film « From Mambo To Hip-hop » dans le cadre du Paris New-York Festival. Si ils aiment, ils aiment. A Cuba, de la respiration au battement de cœur, tout est danse et musique. Au tout départ, vous aviez lancé un crowdfunding pour financer le film. Vous devez rester naturel. J’ai la plus grande admiration pour la passion qu’elle met dans son interprétation. La vérité c’est que j’ai découvert Cubano Chant grâce à Gilles Peterson avec qui je travaillais sur le projet Havana Cultura. Reproduction non commerciale du bulletin officiel des annonces civiles et commerciales Bodacc ref EBODACC-A_20110151_0001_p000 en 2011 Éditeur : (Paris) Date d'édition : 1936-03 Type : texte Type : publication en série imprimée On l’appelait Watusi. Je tiens ça de ma maman. – Paris : La documentation française, 1990. « Comme il est dit dans le film, une bonne musique sera toujours une bonne musique. Encore une fois, je veux faire des choses uniques. L’une d’entre elle, est Abakuá qui vient du Karraba, il y a la religion Yoruba, le Bantu aussi. », Une idée que développe John Radanovich, auteur de la biographie sur Benny Moré Wildman of Rhythm. « Travelling Riverside Blues » est de Robert Johnson et puis il y a « I’ll be there ». Comment avez-vous vu eu l’idée ? Groupe de scène avant tout, PALO! Mais Harvey Averne, longtemps vice-président exécutif -musicien, producteur, musicien, lui-même auteur de disques à succès de boogaloo m’a confié que l’idée même qu’une maison de disque ait eu la volonté de tuer une source de bénéfices était tout bonnement ridicule. « From Mambo to Hip-hop, a South Bronx Tale » (2006) de Henry Chalfant, produit par Elena Martínez and Steve Zeitlin. Flores relaie cette accusation dans une interview. J’ai vécu des belles choses là-bas. Le chef d’orchestre Bobby Sanabria (qui n’a jamais quitté le Bronx) donne son explication : « Prenez le type le moins éduqué de Puerto Rico, le gars qui vient de la montagne, emmenez-le au Park Palace Ballroom écouter dans les années quarante l’orchestre de Machito, dont la sophistication laissait les jazzmen bouche-bée. « J’ai rencontré Fernando à New York grâce à Puntilla, Orlando Ríos. – Episode 4 : Et les dieux créèrent PALO ! On est allé vers des choses plus complexes, le rock progressif : Hendrix, les Doors, Deep Purple, Led Zep… J’ai commencé à entrevoir vers où je pouvais aller. Steve Roitstein compte sur PALO! Mathew, vous avez démarré ce projet maintenant il y a six ans.
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